Where does it come from? This quest?
This need to solve life's mysteries when the simpliest questions can never be answered.

Why are we here?
What is the soul?
Why do we dream?  

Perhaps, we'd be better of not looking after all. Not delving, not yearning.
But that's not human nature, not the human heart.
That is not why we are here. 

Yet still we struggle to make a difference, to change the world, to dream of hope. Never knowing for certain who we will meet along the way.  

Who among the world of strangers will hold our hand,
Touch our hearts,
And share the pain of trying?  

We dream of hope. We dream of change. Of fire, of love, of death.
And then it happens,
The dream becomes real.
And the answer to this quest, this need to solve life's mysteries, finally shows itself. Like the glowing light of a new dawn. So much struggles for meaning, for purpose. And in the end, we find it only in each other, our shared experience of the fantastic, and the mundane... The simple human need to find a kindred, to connect, and to know in our hearts that we are not alone. 


( D'où est-ce que ca vient? Cette quête?
Ce besoin de dechiffrer les mystères de la vie… Les plus simples petites questions ne sont jamais resolues.  

Pourquoi sommes-nous là?
Qu'est-ce que l'âme?
Pourquoi rêve-t-on?  

Peut-être ferions-nous mieux de ne pas trop fouiller. Ne pas trop esperer, ne pas chercher.
Mais ce n'est pas la nature humaine, ni le cœur de l'homme.
Ce n'est pas la raison de notre présence.  

Pourtant nous luttons pour changer la donne et le monde, pour rever d'espoir, sans savoir qui croisera notre chemin.  

Qui nous prendra par la main ?
Touchera notre cœur ?
Et nous soutiendra dans nos efforts ?  

Nous rêvons d'espoir. Nous rêvons de changement. De feu, d'amour, de mort.
Et puis cela arrive.
Le rêve devient réalité.
Et la réponse à cette quête, ce besoin de déchiffrer les mystères de la vie se montre enfin. Comme la brillante lumière d'une nouvelle aube. Tant d'efforts pour trouver un sens, un but, que l'on trouve finalement les uns dans les autres, dans notre expérience partagée des choses fantastiques et plus terrestres. Notre besoin basique et humain de trouver notre tribu, de tisser des liens et de savoir au fond de nos cœurs que nous ne sommes pas seuls.)

Heroes, Tome 1, Episode 23, Final.

(Juste parce que c'est vrai, juste parce que c'est bien dit, juste parce que toutes les questions sont bien posées...)

Delirium

Prologue:

Je suis pas fan de toutes ces series que l'ont peut trouver en ce moment à la télé. Entre Lost, Supernatural, Smallville ou je ne sais quoi encore, on peut pas dire que ce soit top-top. Ce ne sont pour la plus part que des tissus de copies, de mauvais acteurs sur un fond instable d'une histoire pourrie. Moi je regarde plus la télé pour ça: Pour les choses qu'on y voient, et pour celles qu'on y voient pas. De plus, je suis pas une grande fan du principe même de la série: T'as intérêt à suivre, sinon t'es paumé. Youhou...

Mais depuis longtemps déjà, et c'est pas nouveau, le sujet des modifications adns, que ce soit par la stupide main de l'homme ou par l'évolution naturelle des espèces,  m'a intéressé. J'ai toujours cru et voulu croire dans des 'pouvoirs', dans des 'dons' extraordinaire que le monde pourrait nous offrir. Après tout, l'humain n'utilise que 10% de sa masse cérébrale et, malheureusement, ce n'est pas la meilleur partie.

Les humains sont capables de prodiges: Un aveugle peut marcher sans se prendre un mur parce qu'il entend les murs, une femme enceinte peut soulever des charges immenses par instinct de survie, certaines personnes ont un don, je ne dirais pas de medium, mais leur sixième sens est si affuté que c'est comme tel. Nous sommes une espèce extraordinaire: Nous avons la conscience du 'je', nous pouvons nous comprendre et communiquer avec facilité, nous avons la conscience du bien et du mal, etc. Or, nous n'utilisons cela que pour un but: La guerre, la trahison, le meurtre, j'en passe des belles et des pas mûres.

Une certaine Klo est tombée fane de cette série, Heroes. Après moult récis, je me suis mise dedans. Le sujet m'a intrigué. Alors je suis rentrée dedans.
C'est exactement ce que je cherchais depuis bien longtemps déjà.

A la fois très simple dans sa mise à l'écran: Pas d'effets spéciaux époustouflants, pas de batailles dans l'air ni de combat à la 'power rangers'. Juste des petits sous entendu, une bonne histoire, des acteurs qui savent plus ou moins jouer. Juste un monde terre a terre avec la réalité. Juste des héros qui n'en sont pas vraiment. Juste des humains qui parlent d'amour, qui parlent de bombe, qui parlent de haine. Juste un homme, plus tourmenté que les autres, qui a envie de devenir plus que ce qu'il est. Juste un méchant, qui ne l'est pas vraiment, qui ne comprend pas, ni lui ni les autres.
Cette etonnante simplicité pour une histoire aussi tissée, j'ai trouvée ca particulièrement séduisant. Malgré l'air cretin de certain acteur, malgré leurs piètres performances a des endroits, on leurs pardonnes, parce le rendu est unique en son genre.

Bref, Heroes, tu as une nouvelle fane

[J'peux m'inscire au CCS? Et y'a pas un CCP? XD]
 

Delirium

Même si ses histoires sont souvent similaires
Et l'ambiance instaurée souvent sombre
Tim Burton restera un grand réalisateur

"Adolescent, j'ai toujours pensé que le seul moment où je verrais tous nos voisins ensemble dans la rue, ce serait en cas de catastrophe ou de vengeance collective, ces circonstances exceptionnelles qui réveillent une dynamique de foule, par la solidarité ou par la peur et le désir de punir. J'ai toujours été fasciné par le parallèle entre la vie en banlieue et les films d'horreur."

Tim Burton

"Lorsque j'ai rencontré Johnny, il tournait dans une série pour ados. Il était considéré comme un jeune crétin superficiel. Une fois de plus, on confondait l'apparence avec la réalité. J'ai pensé qu'il y avait bien des choses au-delà et qu'il comprendrait intimement le personnage d'Edward aux mains d'argent. De fait, il a des regards, dans ce film, qui m'épatent encore. Pour Ed Wood, il a trouvé l'exacte mesure d'émerveillement béat correspondant à l'incurable optimisme du personnage. Dans Sleepy Hollow, il est Ichabod Crane, avec toutes les contradictions internes qui l'agitent."
Tim Burton

"Quand je travaillais chez Disney, j'en avais un peu marre de dessiner des renards avec de grands yeux doux et humides. Je me suis mis à rêver d'un personnage qui n'aurait pas d'yeux. D'où l'idée d'un squelette: c'est ainsi que Jack est né. Après, il se trouve que Disney a produit l'Étrange Noël de Mr Jack. Ce personnage principal avec deux trous noirs à la place des yeux, c'était gentiment subversif."

Tim Burton


Franchement, ce type est un génie. 

   [ Et son recueil de poèmes est super ]

Delirium

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