Pas si nul que ça en faite, ce dernier opus.

http://delirium.cowblog.fr/images/1/tryrtyrt.pngBon, c'est vrai ce film doit plus plaire aux femmes vu comment Hugh Jackman est mit en valeur. Certes c'est le héro, mais il souvent torse nu, et parfois même à poil. Archi musclé, mais pas encore haltérophile, l'acteur - déjà charmant au départ - se dévoile en homme 'de rêve'. J'ai toujours eut un faible pour le personnage de Wolverine. Un type froid et distant, souvent cynique, ressemblant à un fauve; mais qui n'hesite pas une seul seconde à sauver des vies. Voir ce film - aussi nul que les trailers laissaient supposés - était une question d'principe pour moi. Et puis même si l'histoire était nul,
-Hugh était toujours agréable à l'ecran.
C'est septique que j'suis restée devant le film. L'ecran noir arrive, p'is vint des gosses. Le Logan enfant m'a tellement décu que j'avais envie de sortir du cinéma desuite. C'était quoi ce gosse qui savait pas joué? Malade qui plus est? Et qui sait pas hurler ou jouer les mecs torturés? Raaah ca m'a enervé.  Enfin, notre Hugh vient crever l'ecran. D'abord dans la guerre de Secession, puis la 1ere guerre mondiale, puis le debarquement, puis le vietnam. Le générique s'enchaine, prenant et très esthetique.
-Aaah, bon, c'est bon, j'suis dedans.

Je suis la suite avec un mauvais présentiment. Le temps passe à une vitesse folle. Les batailles deviennent plus epoustouflantes les unes que les autres. La trame de l'histoire se suit, et reste plus ou moins cohérente. Chose assez rare mais très appréciable pour un film créé afin d'en mettre plein la vue ( mais bon c'est pas non plus un film de reflexion, ca reste un X Men, pas un recueil de philosophie. ) La musique entraine, installe l'ambiance, fait passer les sentiments. Mais en même temps, le script se permet à de l'humour de temps en temps comme le stéréotype de canadien bucheron qui m'a bien fait rire, ou la phrase culte que lance Wolverine à Deadpool avec sa peau greffée sur la bouche: Ah tiens, Stryker a réussit à te fermer la gueule!  Il est vrai que le film planche sur le côté dramatique du fratricide opposant Logan à Victor, et met un peu de côté l'humour froid ou débile des précedents X Men. Il est sûrement loin d'être le film de l'année, très loin, et ne s'approche en aucun cas du bouquet que proposait par exemple Watchmen. Mais cela reste un film très agréable a regarder, tant qu'on y va pas pour voir un nouveau Tarantino. Le charisme du super-héros (et donc celui de Hugh Jackman) n'y est pas pour rien.  Figure du renoncement absolu et perpétuel, Wolverine (qui veut dire Carcajou, une bête de petite taille avec un sacré caractère, très aggresif) se tient bien loin des “héros positifs” de certains comics, à commencer par l'araignée qui crapahute de toits en toits, ou le brun gominé au slip criard. Le film transpire la violence, la vengeance non négociable, les instincts primaires et l'envie de sang. C'est tout simplement un bon moment, où l'immersion dans le film est totale.

Un mutant chasseur aux instincs basics et violents qui hurle à la lune,
Ca donne un charme non négociable.

[ C'est pas une perle, mais ca fait du bien. J'aime Hugh Jackman, j'aime Wolverine ♥ ]

Delirium

http://img25.imageshack.us/img25/2849/linko.png
Comme dans toutes les livres de science fiction, l’histoire commence par une prophétie. Notre histoire ne fait pas exception.

« Or donc, il advint lorsque les dieux se baigneraient dans le sang revigorant de leurs fidèles,
L’équilibre serait rompu.
Alors, un être naitra.
Il sera plus juste et plus puissant que les anciens dieux.
Il imposera un règne fait d’amour et de paix,
Et le calme reviendra. »

… le calme reviendra.



Chapitre I - Crépuscule
Le monde brûle. Le ciel noir refuse de déverser ses larmes sur la terre. Et les bruits du tonnerre ne couvrent plus les hurlements des païens qui agonisent lentement. Les hommes prient. Ils prient que ce carnage s’arrête, ils prient que des dieux accueillants les écoutent. Enfin, ils prient pour que leur vie soit sauve. Soudain, la terre gronde. Un grondement sourd, qui nait de l’intérieur même de l’astre bleu. Le tonnerre, les cris, le vent, tout cela s’arrête. Même ce grondement terrible. Le silence ne laisse rien présager de bon. Lentement, comme l'ultime râle de la terre, naissant des entrailles de la planète et grandissant de plus en plus, le grondement revint. Plus fort, plus assourdissant que jamais. Les cris revinrent eux aussi, timides et plaintifs. La terre se fissure, et dans une déflagration sans retour, explose.
La Grande Explosion.
Là haut, au dessus des nuages, les dieux se félicitent de leur ruse.

« Alors, petit emplumé, quelles sont les nouvelles? »

La voix impérieuse résonne encore quelques minutes. Puis une ombre s’approche de l’immense trône. Un teint hâlé et un corps musclé, complètement mit à nu. Quelques tatouages tribaux sur les avant bras. Chose étrange: Sa tête était celle d'un aigle, aux plumes noires geais, et aux yeux dorés. N’importe qui aurait vu en lui un synonyme de liberté, et même de beauté. Mais il était ici en esclave. Il s’agenouille au pied du trône, et répond.
« La Terre … Gaia …. n’est plus. »
Silence. Sa voix, à lui, ne résonne pas.
« C’est une bonne nouvelle! Tu auras double ration de granulés! »
« Quelques survivants humains survivent ça et là. »
« Tant mieux! Sans humains, il n’y a plus d’amusement, n’est-ce pas!? »

D’autres trônes apparaissent. Les rires fusent. Les têtes des géants sont dans l’ombre. Rhâ s’écrase encore plus. Soumit. Il est effrayé. Un autre être arrive derrière lui. Un être bien bâtit, possédant une barbe blanche et une immense tunique blanche. Il conserve une certaine prestance, et semble plus vieux et sage que le monde. Il vient aux côtés de Rhâ, et s’écrase lui aussi. Deux hommes extraordinaires, réduis en esclavage. Brisés.
« Et toi, vieil homme sénile, que viens tu nous apprendre? »
Echos. Zeus hésite. Silence. Rhâ relève légèrement la tête et le regarde, inquiet. Les Hauts Dieux ne sont pas patients. En fait, les Hauts Dieux ne sont rien. Ni patients, ni miséricordieux, ni généreux, ni même à l’écoute de leur peuple. Lorsqu’ils sont arrivés sur Terre, ils ont appréciés les humains qui - en tant que race inférieure - c’étaient réfugiés dans la croyance aveugle d’identités divines. Ce que les humains ignoraient et qu’eux ont apprit, c’est qu’en croyant si fort dans leurs divinités, ils leurs avaient donné vie. Une fois que les Hauts Dieux eurent comprit que les divinités existaient, ils les asservirent. Toutes les divinités de la planète sous tutelle, pour ensuite mieux asservir la race bipède, si faible à leurs yeux. Mais les humains ne sont pas si faibles. Car chaque humain, s’il croit suffisamment fort en quelque chose, s’il est prêt à sacrifier sa vie au prix de ses croyances, est capable de grandes choses. Car en chaque humain réside une part de fantastique. Une infime part de l’énergie de Gaia. Une part de magie.
Soit, Zeus hésite. Une voix impérieuse se fait entendre. Féminine cette fois ci.
« Eh bien, parle, raclure! »
« … Nos informateurs nous signal que l’ancienne prophétie serait sur le point de s’accomplir »
« Comment cela est-ce possi - »
« Voici venu l'heure du renouveau, enfin. »

C’était Rhâ, qui avait murmuré en se redressant. Même s’il était plus petit, il y avait tellement de haine, de rancœur de force qui émanait de lui qu’il semblait être un autre. Mais la peur revint lui dévorer les entrailles, vicieuse et aiguisée. Non pas la peur de mourir, mais la peur de souffrir. La peur d’être oublié. De sombrer dans l’abime sans fond. Dans ses yeux s’éteignait la flamme de la volonté. Il sembla diminuer un peu, avant de baisser la tête. Dans ses yeux, Zeus pouvait y voir la tristesse face à l’impuissance. Et lui-même baissa la tête. Les rires fusèrent à nouveau.
« Très bien, le vieux, ta mission est de trouver et de ramener l’enfant. Et toi , maudit piaf, ta mission sera bien différente. Tu paieras chère ton insolence. Pour le moment, partez. »
« Oui nobles seigneurs. Merci nobles seigneurs. »
Les deux anciens dieux s’éclipsèrent. Le silence revint dans la salle des trônes. Une voix se fait entendre.
« Qu’allons-nous faire? Il est dit que cet enfant nous détruira. »
« Nous allons nous amuser, comme d’habitude. Mais cette fois ci, nous installerons nos pions, et observerons juste la partie… »
« Tu as une idée? »
« Evidemment. Mais pour commencer, il me faut le petit Prince afin de créer les Dames: La Dame noire et la Dame blanche… »



Chapitre II - Renouveau
L’eau manque. Il n’y en a presque plus. L’argent à perdu sa valeur, seule l’eau compte désormais. Après la grande explosion, la terre s’est transformée. Désormais, il n’y a plus de Terre. Mais juste des morceaux gravitant autour d’un seul et même noyau. Certains sont désertiques, d’autres sont verdoyants, d’autres encore ne sont qu’eau. C’est dans un désert aride lors d’une pluie rare que l’enfant fut trouvé. Dans un minuscule bloc, une parcelle ne pouvant contenir qu’un homme allongé, tout au plus. Il ne pleurait pas, mais regardait la pluie. Le soleil était présent, et la pluie tombait à grosse goutte. Il était la naissance et la fin d’un arc en ciel. Zeus le prit contre lui. L’enfant ne parlait pas, mais il planta son regard verdoyant aux paillettes dorées dans ceux de l’ancien dieu. Celui ici réprima un sanglot, et força la tête de l’enfant à se baisser. Zeus avait vu l’espoir.
Il ramena l’enfant aux Hauts Dieux, qui se mirent à rirent en constatant la jeunesse et l’ignorance dudit élu. Une voix résonna, la voix du chef des Hauts Dieux. Il appela Rhâ, qui apparu presque instantanément.
« Voila ta punition, mon cher. Prend la vie de ton sauveur. »
Les yeux de Rhâ s’ouvrirent, la colère traversa tout son corps, comme un afflux trop abondant d’adrénaline. Il voulait les détruire. Il voulait refuser. Il voulait s’en aller. Mais il ne voulait pas mourir. Il ouvrit la bouche, et chercha Zeus du regard. Celui-ci observait le sol, tristement, en secouant la tête de droit à gauche. Alors l’ancien dieu Soleil baissa lui aussi la tête. Il ferma les yeux, et d’une voix presque inaudible, répondit.
« Très bien, mes seigneurs. »
Il s’approcha de l’enfant, qui le regardait. Sans méchanceté, ni même curiosité. Il semblait comprendre. Savoir ce qui allait lui arriver, parce que cela devait lui arriver. Le pauvre dieu s’approcha encore, et posa juste un doigt tremblant sur le front du jeune garçon, qui ferma les yeux, un sourire aux lèvres. La détonation qui suivit fut si forte que le palais des Hauts Dieux s’ébranla et les blocs restant de la terre tremblèrent. L’enfant semblait être un mini soleil, qui absorbait tout sur son passage, et détruisait tout. Même les dieux. Les Hauts Dieux, affolés, s’en allèrent. Certains furent prit dans le flux du jeune enfant. Mais l’ingénieux explosa de rire, et saisit dans ses mains le cadavre incandescent. Il ferma ses deux mains l’une sur l’autre, et tira de toutes ses forces. Ils semblaient vouloir déchirer un morceau résistant d’arbre. Le grondement s’intensifia, encore et encore. Rhâ hurlait, et Zeus aussi. Quelque chose les déchirait de l’intérieur. Un craquement sourd fit tomber des blocs dans le noyau, et détruisit le palais. Mais l’Ingénieux avait réussit. Il ouvrit sa main, où au lieu d’avoir un élu, il y avait deux êtres exactement identiques. A part que l’un avait les yeux dorés, et l’autre les yeux gris. Seuls les râles de douleurs des anciens dieux brisaient le silence. L’Ingénieux expliqua.
« Vous qui nous avez toujours obéit en espérant la venu de l’élu, vous êtes servi: Vous allez vivre dans lui! Toi, Rhâ, tu vivras dans le Soleil. Tu seras enjoué, et possédera un sens de l’honneur sans pareil. Et toi, Zeus, tu seras la Lune. Tu seras froid, et possédera un cœur aussi fragile qu’impénétrable. Vous serez condamnez à vous aimer autant que vous haïr. Et jamais, jamais vous ne pourrez vous toucher sans que la Terre ne tremble! »
Et - comme promit par la prophétie - il s’en alla. Les Hauts Dieux observent toute cette affaire d’en haut, et n’interviennent plus qu’en secret. Ils laissent le destin jouer leur jeu, et détruisent des vies sans signature. Car désormais, le Chaos qui règne n’est dû qu’au Destin.
Et aux petits coups de pouce des Hauts Dieux.



Chapitre III - Recommencement
Les Jumeaux grandirent. Ils ont maintenant 17 ans. Cela fait depuis bientôt 11 ans qu’ils règnent sur la terre dévastée. Après l’explosion, l’eau se fit rare. Si rare qu’elle est maintenant devenue l’unique source de pouvoir et de richesse.
Les humains se sont remit de la Grande Explosion, sans pour autant apprendre de leurs erreurs. Ainsi, ils recommencèrent à s’entre tuer pour quelque chose, car c‘est dans la nature humaine que de chercher la guerre: La prophétie annonçait la venu d’un Elu, pas de deux. L’un des deux Jumeaux n’est donc pas réellement un sauveur. Très vite, l’humanité ce scinda en deux groupes. D’un côté, les Loyaliste du Soleil, persuadé que seul K’iin peut être l’Elu. De l’autre, les Loyaliste de la Lune, convaincu que seul Andun à la capacité d’être l’Elu. Cette découpe se fit si rapidement, et les Jumeaux furent si tourmentés par cette réflexion, qu’ils créèrent chacun deux dieux afin de les aider à régner.
Les Quatre Grands Dieux Mineurs créèrent à leur tour les Barons au bout de 3 ans, afin de les soulager des tâches ’fatigantes’. Les Quatre Grands Dieux profitèrent du tourment de plus en plus grand des Jumeaux pour appuyer leur pouvoir et leur autorité sur le peuple entier. Ils prirent goût à la richesse et au confort. Demandant toujours plus à leur peuple. Encore. Encore. Les Barons étaient les premiers à trinquer. Obéir était la seule chose qu’il leur restait à faire.
C’est ce même peuple qui connait désormais famine, et surtout, manque d’eau. Les Hauts Dieux permirent rapidement à certains humains de déclencher leurs dons. Ainsi, vers l’âge de 10 ans, certains enfants développent des capacités extra sensorielles. Les Eveillés. Et ces Chers Hauts Dieux soufflèrent quelques idées au Quatre Grands Dieux. Ainsi naquirent les Collecteurs. Ce sont eux qui viennent chercher les enfants, et leur expliquent selon leur don quelle école ils doivent pénétrer, et donc quel Jumeau ils se doivent de servir. Cette découpe si tranchée, ne laissant plus le choix aux gens du peuple, ne fit qu’augmenter encore la haine et le chaos d’en bas.
Et les Barons passèrent à l’offensive. Ainsi, ils allèrent voir en secret quelques Eveillés Confirmés, qu’ils nommèrent Collecteurs. Ils expliquèrent que cela ne pouvait plus durer, que les Quatre Grands Dieux devaient tomber, que les Jumeaux devaient mourir. Ils furent vite suivit dans l’ombre, et commencèrent à réveiller en secret des enfants, afin qu’ils aient le choix de penser. De quoi penser. Afin qu’ils aient le choix, tout simplement. Cette rébellion dans l’Ombre des Grands Dieux, formés par les Barons, s’est nommée: l’Insurrection. Les Barons étant des Riches, les Eveillés qu’ils étaient allé voir refusèrent le même titre. Ils étaient des gens du peuple, et n’avaient pas besoin d’aide outre mesure. C’étaient eux, disaient-ils, les plus toucher par ce régime et cette drôle de guerre. Ainsi, les Dormeurs rallièrent à leur cause quelques humains n’ayant pas de pouvoirs, et créèrent: La Rébellion. Les deux partis crées se sont mit d’accord: La Rébellion a pour but de supprimer les Conservateurs, les non dieux qui protègent les Jumeaux.
Tandis que l’Insurrection a pour but de faire tomber les Quatre Grands Dieux. Une fois tombés, les Jumeaux devront se rendre à l’évidence, et vivre avec leur monde

La guerre est aux portes. La Grande Explosion n’a rien changé. Le départ des Hauts Dieux n’a rien arrangé non plus. La situation s’envenime petit à petit. Le peuple bout dans l‘ombre et hurle juste. Pour le moment, tout est calme. Mais dans ce Chaos, on devine facilement que quelqu’un fera quelque chose de stupide. Et là, les restes de la Terre exploseront. Le moindre de vos gestes, de vos dires et de vos relations pourraient faire pencher la balance.


Ce qu'il faudrait, c'est une nouvelle prophétie


[ Fallait que je le ponde. Fallait que je l'écrive.
Plus qu'une envie, un besoin. ]

Delirium


I
'm not locked in there with you,

You are locked in there with me.



 

[ Rorschach."Pretty Butterflys..."    
Twice. With Angele & Klo ]

Delirium

- Teardrop ~ Massive Attack [ Dr. House Opening ] -
 

Pensées Housiennes ::

" What would you prefer : a doctor who holds your hand while you die or one who ignores you while you get better? I suppose it would particularly suck to have a doctor who ignores you while you die.  "


( Qu'est ce que vous préférez: Un docteur qui tient votre main lorsque vous mourrez, ou un qui vous ignore lorsque vous allez mieux? Sans parler du cas particulièrement merdeux d'avoir un docteur qui vous ignore lorsque vous mourrez.  )

" You live under the delusion that you can fix everything that isn’t perfect. That’s why you married a man who was dying of cancer. You don’t love, you need. And now that your husband is dead, you’re looking for your new charity case. That’s why you’re going out with me. I’m twice your age, I’m not great looking, I’m not charming, I’m not even nice. What I am is what you need. I’m damaged. "

( Tu vis dans la desilution que tu peux soigner tout ce qui est imparfait. C'est pour ca que tu t'es mariée a un homme atteint du cancer. Tu n'aime pas, tu en as besoin. Et maintenant que ton mari est mort, tu cherches une nouvelle cause de charité. C'est pour cela que tu es venue vers moi. Je suis deux fois plus vieux que toi, je ne suis pas beau, ni charmant, ni même gentil. Ce que je suis, c'est ce dont tu as besoin: Je suis cassé. )

" I take risks sometimes patients die. But not taking risks causes more patients to die, so I guess my biggest problem is I've been cursed with the ability to do the math. "

( Je prends des risques, parfois les patients meurent. Mais l'inverse en tuerait encore plus. Mon plus gros problème est que j'ai la malchance de savoir faire le calcul. )


[ Ce type pense juste comme il faut. Le discours qu'il fait a Cameron est tout simplement beau. ]

Delirium

http://delirium.cowblog.fr/images/1/prideandprejudice.jpg
 " Dans un petit village de l'Angleterre, Longbourn, sous Geroges III, Madame Bennet veut marier ses cinq filles (Jane, Elizabeth, Mary, Kitty et Lydia) afin de leur assurer un bel avenir. Lorsqu'un riche rentier arrive à Netherfield Park, elle espère vivement que ses filles sauront lui plaire. Ainsi, elle pourra marier l'une d'entre elles au nouveau venu. Malheureusement, ce rentier, un certain Mr Bingley, est accompagné d'un très bon ami à lui. Très riche, cet ami - Monsieur Darcy - n'est pas un modèle d'amabilité envers la famille Bennet, et les autres voisins. L'orgueilleux Mr. Darcy voit d'un très mauvais œil son ami s'éprendre de Jane Bennet, la plus âgée des sœurs. Non pas par méchanceté, mais par préjugé: Jane n'est interessé que par l'argent. Elizabeth Bennet est d'une vive intelligence, d'une sagesse éloignée de tout pédantisme qui lui permet de supporter sereinement et avec indulgence l'atmosphère provinciale étriquée dans laquelle il lui faut vivre. Son caractère naturellement gai la met en état de percevoir le côté humoristique ou grotesque de toute situation quelle qu'elle soit. Elle suit avec attention l'évolution des sentiments de sa sœur préférée tout en faisant attention à l'officier Wickham, un militaire séduisant qui ne la laisse pas indifférente.. Persuadé de ne jamais trouver d'homme pouvant la supporter et - surtout - le grand amour comme celui des contes de fées, elle dit vouloir finir vieille fille. Et la première fois qu'elle rencontra le sombre Mr. Darcy, ne supportant pas l'orgueil de la mère des 5 filles, commence à la critiquer. Et Lizzie, ne le supportant pas, et commenca à croire des préjugés vis-à-vis de Darcy. Et lorsqu'elle apprend qu'il aurait empecher lidylle entre Jane et Mr. Bingley, elle se mit à le haïr. Mais plus fort qu'eux, l'amour commenca à arriver entre les deux eclairs. Comment pouvoir surmonter l'orgueil? "


[ Des que j'arrive pas à dormir, ce film sert de berceuse. ]

Delirium

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